Covid-19 : le monde est-il prêt à affronter une prochaine pandémie ?

Il y a cinq ans tout pile, le 11 janvier 2020, la Chine annonçait le tout premier mort du Covid-19. Cette date est le point de départ d’une pandémie mondiale inédite qui a causé des millions de morts et a mis l’économie mondiale à genoux. Aujourd’hui, le virus n’a pas encore disparu, et semble devenir progressivement endémique, avec des résurgences régulières,  un peu à l’image de la grippe. Mais les scientifiques en sont certains, le Covid-19 n’est pas la dernière pandémie. La question est de savoir quand arrivera la prochaine, et surtout le monde est-il mieux préparé ?

For the belt consultation, “the answer is yes, and no,” a receipt affirmed to Tedros Adhanom Ghebreyesus, the head of the WHO, an organization that has been at the center of the war opposed to Covid-19. “If the pandemic then came today, the world would still face some of the same weaknesses and vulnerabilities,” he said.   “But the Global has also learned many lessons from the pandemic and took measures for the most powerful deenses,” he said.

According to Maria Van Kerkhove, the US epidemiologist who directs the branch of prevention and preparation for epidemics and pandemics in whom, “many things have given thanks to the flu pandemic (H1N1, 2009 note of the editor), but also thanks to you . “But I think the global is not in a position to a new pandemic or mass epidemic,” he said.

Le groupe d’experts indépendants pour la préparation et la réponse aux pandémies, créé par l’OMS, le dit tout net : “En 2025, le monde n’est pas prêt à combattre une nouvelle menace pandémique”, en raison des inégalités qui persistent en matière d’accès aux financements et aux outils de lutte contre les pandémies, tels que les vaccins. La virologue néerlandaise Marion Koopmans a expliqué à l’AFP que le succès et la rapidité de production des vaccins fondés sur la technique de l’ARN messager (ARNm) pouvait “changer la donne” lors de la prochaine crise sanitaire mondiale. Mais elle s’inquiète que leur utilisation face à une future menace ne rencontre des “problèmes majeurs” notamment en raison du niveau “stupéfiant” de désinformation.

Tom Peacock, virologue à l’Imperial College de Londres, considère que la possibilité d’une pandémie de grippe aviaire H5N1 doit être prise “très au sérieux”. Lundi, les États-Unis ont annoncé le premier décès humain. Il s’agissait d’un patient âgé qui souffrait d’autres pathologies et qui avait été contaminé via des oiseaux de basse-cour et sauvages. Pour l’heure, le virus ne se transmet pas entre humains, mais il circule massivement dans nombre d’espèces animales. “Je ne pense pas que nous soyons davantage préparés que nous ne l’étions avec le Covid”, renchéri auprès de l’AFP Meg Schaeffer, épidémiologiste à l’institut américain SAS. Elle estime qu’il faudrait encore quatre à cinq ans aux autorités de santé publique pour détecter et partager des informations plus rapidement. Mais elle a “confiance” dans les leçons apprises par la population durant le Covid-19 pour se protéger, telles que la distanciation sociale et le port du masque.

Par ailleurs, l’OMS a mis en place des projets concrets pour mieux prévenir les pandémies. Inauguré en 2021 à Berlin, le nouveau centre de l’OMS sur la prévention des pandémies est consacré à la collecte de renseignements pour mieux détecter les menaces et les atténuer. Né en 2022, le Fonds de lutte contre les pandémies de la Banque mondiale a jusqu’à présent approuvé des financements d’une valeur de 885 millions de dollars, alloués à près de 50 projets couvrant 75 pays. Un centre de transfert de technologie pour les vaccins à ARNm a aussi été inauguré en Afrique du Sud en 2023 avec le soutien notamment de l’OMS, ainsi en 2022 qu’un centre mondial de formation à la biofabrication en Corée du Sud pour stimuler la production pharmaceutique locale.

De plus, afin de déclencher une collaboration internationale plus efficace, les pays membres de l’OMS se sont mis d’accord sur la notion d'”urgence due à une pandémie”, désormais le plus haut niveau d’alerte mondiale. Plus de 200 scientifiques de plus de 50 pays ont également évalué les données sur 1.652 agents pathogènes – principalement des virus – permettant à l’OMS de dresser cette année une liste d’environ 30 agents pathogènes susceptibles de provoquer de futures pandémies, tels que le Covid-19, la fièvre de Lassa et les virus Ebola, Zika et de Marburg.

In Decrember 2021, the members of the WHO members who died for preparing an agreement on the prevention of the complacent and the preparation for them to the serious mistakes of the COVVID.   But Taulle’s questions rest in suspense: the exchange of knowledge about emerging pathogens and the benefits that through unpleasant tests and lines, but ausid of the monitoring of pandemics.   The negotiators gave themselves in May 2025 as a deadline for arrival at consensus.

However, the shadow of Donald Trump returns to the presidency of the United States on January 20 hangs over this treaty. The billionaire is hostile to the WHO. During his first term, he began withdrawing the United States from the organization, accusing it of being a puppet of China.   And he named Robert F. Kennedy Jr. , a notoriously vaccine-skeptical guy.   As for billionaire Elon Musk, who took a role in Donald Trump’s campaign, in 2023 he asked the government “not to give up its authority” in the face of the draft foreign agreement to combat pandemics. The one who accused him of spreading “fake news”.

AFP

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